Psychologie

De nombreuses études le montrent : les femmes sont parfois moins bien soignées, parce que facilement perçues comme des « chochottes » par les médecins… qu’ils soient hommes ou femmes !

La bêtise a-t-elle un sexe ? Si les données biologiques ne tranchent pas franchement, les statistiques, elles, dessinent un portrait différencié de la connerie selon le genre. Hommes ou femmes ne sont pas censés faire preuve de connerie de la même manière. Il y a un protocole !

Si ces tristes sires sont partout, c’est souvent en famille qu’ils sont les plus difficiles à supporter. Et en plus, nous nous reprochons de mal les aimer !

Trouver « la » bonne personne ? À d’autres ! Derrière le mythe romantique se cache une vision éberluée et souvent toxique de l’amour.

Ils simplifient commodément la réalité… quitte, parfois, à la déformer. Et à nous inspirer l’un des éléments clés de la connerie : le sentiment d’infaillibilité.

Non, les émotions ne rendent pas idiot. Mieux : sans elles, impossible de bien raisonner !

Tester un livre de développement personnel par mois, pendant un an : voilà un bon moyen de s’améliorer rapidement… puis de se retrouver au trente-sixième dessous !

Dormir ne nous rend pas forcément plus malin : on y radote, on y jure, on y échoue à ses examens... Mais parfois, entre deux absurdités nocturnes, jaillit une idée de génie. La preuve qu’on peut être un con inspiré – même en pyjama.

Pensée profonde ou improvisation de surface ? Derrière nos décisions et nos certitudes se cache peut-être… un grand vide. Le mythe d’un inconscient tout-puissant laisse place à un cerveau bluffeur au talent redoutable.

Allons bon, savoir n’empêche pas de faire n’importe quoi ! Même les plus intelligents ne sont pas à l’abri des petites (ou grosses) bêtises bien rationnelles en apparence. Quels sont les mécanismes cognitifs de la stupidité assumée ?

Ils sont nuisibles pour la société, efficaces pour eux-mêmes. Les mécanismes évolutionnistes expliquent pourquoi les pires d’entre nous s’en sortent parfois si bien… mais pas toujours longtemps.

Ils nous font rire, jusqu’au jour où ils font des morts… Car leur manque d’intelligence ou de jugement crée trop souvent les conditions parfaites pour que les accidents, les famines ou les violences prospèrent. La connerie a un coût humain !

Il arrive qu’un pan de notre enfance ressurgisse en écoutant une musique ou en traversant un paysage… Que nous apprennent ces épisodes ? Évoquent-ils la permanence du moi ou témoignent-ils d’un autre que nous ne sommes plus ?

Inventé par le psychanalyste Carl Gustav Jung au milieu du 20e siècle, cette idée est devenue un paradigme du développement personnel.

Les souvenirs de notre vie sont contenus dans la mémoire autobiographique. Les neurosciences se passionnent depuis une vingtaine d’années pour cette machinerie, centrale dans la constitution de notre identité individuelle et collective.

La réminiscence est un processus involontaire qui fait remonter à la surface de lointains souvenirs, souvent chargés en affects. Cette expérience involontaire reste rare et souvent incomplète. Témoignages.

Devenir parent amène, bien souvent, à relire notre propre enfance et à réévaluer – en bien ou en mal – l’attitude de ceux qui nous ont élevés. Avec toujours, en arrière-plan, une insondable énigme : qu’est-ce qu’être un bon parent ?

En insistant sur le besoin de donner un sens à son vécu, ce psychiatre et philosophe autrichien a dispensé une nouvelle impulsion aux thérapies psychologiques et analytiques.

La fin de la vie active est un moment propice à la réflexion sur sa propre existence. Et si cette période nous permettait de faire la paix avec nous-mêmes ?